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Roots Voyage et Retours
4 mars 2009

en route pour HOMBORI, chez Lélélé

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La Banque Culturelle de Fombori,
contre le pillage.

 

 

 

Sur la route, entre Fombori et Boni,
au pied de la chaîne de Gandamia

 

sur la route vers Hombori

Paysages magnifiques...

Je suis aux premières loges pour apprécier.

Une des conséquences des choix faits par le guide dans cet art difficile: jongler avec les finances pour se ménager le plus de bénéfices possibles sur le forfait à la journée, tout en essayant de me satisfaire au maximum.

Clic! photos...>>> + grand, + beau


Ce matin-là, au départ de Fombori, il a préféré l'option taxi-brousse plutôt que bus. Pour optimiser le transport, a parié sur l'opportunité du marché de Boni (voir la carte), qui a lieu ce jour. Effectivement, véhicule très facilement trouvé pour partir, une bâchée chargée de tout ce que peut contenir une bâchée un jour de marché... (je vous ai déjà détaillé ça ICI, milieu de page: "les Bâchées sont mes chouchous").

Nous partons bien sûr quand il semble qu'on ne puisse plus glisser un papier à cigarette entre deux passagers. Mais, voilà... en cours de route, sur cette interminable ligne de goudron qui s'insinue entre grès vertical et immense plaine déserte et nue, croyez-vous qu'on aurait le cœur de refuser ces deux bergers peuls (ou bellas?) qui espèrent patiemment sur le bas-côté, entourés de toute la famille, de moutons... et de nattes liées en gros tas, préparées pour... ben... pour le marché de Boni!?... Ça serait vraiment manquer d'humanité!... D'autant que, contrairement à ce que pensait Oumar, on n'a pas vu grand monde sur cette N16...

Bon!... Pas d'problème ... on va se pousser, personne ne rechigne... Heureusement, c'est une bâchée minimaliste, juste les arceaux, pas de toile : ça permet de gagner de la place sur l'extérieur... Le chauffeur râle bien un peu planté devant le volume des nattes à rajouter sur ce qui dépasse déjà grandement de sa galerie de toit. Prend l'air de celui qui va vraiment pas pouvoir y parvenir.. Mais tout finit par trouver place, hommes et biens... et moi, mieux que tout.

Car... M'apercevant, comprimée dans un angle, et pensant peut-être que n'étant pas accoutumée à ce degré d'inconfort, ce pouvait être plus difficile pour moi que pour les autres, le chauffeur fait brusquement descendre un homme de sa cabine et lui octroie d'autorité ma place... Et c'est ainsi que je me suis retrouvée derrière ce pare-brise brisé, privilège que je n'avais pas demandé mais que je n'ai pas refusé, trop heureuse du confort relatif sur cette banquette où nous ne sommes que trois et surtout du bonheur de pouvoir ainsi, pendant le reste du trajet, profiter pleinement de la beauté de ces étranges paysages.

Le reste du trajet... nous laissera à mi-course!... au carrefour où la piste pour Boni quitte la nationale (carte). Carrefour désert qui ne rend pas vraiment ce que Oumar en attendait, à savoir le trafic salvateur de véhicules revenant du marché, trafic anticipé suffisant pour qu'on se dégote le truc à roues et moteur qui irait dans la même direction que nous et si possible, aussi loin... Mais  ce carrefour rend bien autre chose, une attente qui finit par se faire oublier, un temps étiré au-dessus d'une plaine où peu de choses pourraient arrêter le regard... Chaleur et économie de bruits, de gestes, de paroles... Et l'abri d'une obscure et minuscule gargote cubique, ficelage en sacs de mil refermé étroitement sur son îlot d'humanité... Heures suspendues que je vous ai déjà livrées dans ce bref roman-photo : sur le fil de l'attente (il vous faudra peut-être y zoomer pour lire les textes intégrés aux images, canalblog ne m'a pas aidée sur ce coup-là).


Chez Lélélé

 

chez Lélélé à Hombori

Presque en famille...

 

vaisselle chez LéléléLélélé a longtemps été guide. Il a construit ce campement à Hombori petit à petit. Il y vit avec sa famille, a plus ou moins levé le pied sur ses activités de guide et se consacre à l'accueil. On se sent bien chez lui...

Les enfants du campement

Ce petit bout de bonne femme au regard volontaire veut vraiment sa séance de pose spéciale enfants : elle prend les choses en main, organise son petit monde, fait ses choix de mise en scène pour elle-même et ses jeunes frère et soeurs...

enfants chez Léléléfratrie

Le campement, halte chaleureuse au bord du goudron, se nomme KAGA TONDO... Lélélé a un blog sur lequel vous trouverez plus d'infos:

http://lelele.skyrock.com/

De l'autre côté de la route, par-delà une crête sur laquelle grimpe le village ... le mont HOMBORI où je vous emmène dans la page suivante, si vous voulez bien m'y suivre...

 

massif Barkoussi à Hombori


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cliquer dans l'icône ci-dessous :                                        Hombori Tondo
point culminant du Mali
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4 mars 2009

Hombori Tondo, point culminant du Mali

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en route pour Hombori,
chez Lélélé

 

massif Barkoussi

"Ah!... Le voici, le point culminant du Mali (1155m), (carte) tel qu'on le voit en arrivant du vieux village, après avoir traversé un vallon pierreux couvert de champs qui lui-même fait suite à une crête sur laquelle, versant opposé au mont, grimpe (ou dégringole, c'est selon... le sens de la marche) le village du même nom...?"

C'était du moins ce que je croyais avant que je n'étudie ce plan, tant aussi bien Lélélé que Oumar parlaient de "Monts Hombori", au pluriel quand moi je le voyais au singulier, obnubilée par la particularité "culminant"... Le mot Barkoussi que j'avais alors compris comme un nom de lieu-dit plus pittoresque  qu'un autre n'avait pas retenu mon attention comme il le méritait: 

carte des Monts HOMBORI

Le fameux point culminant, je ne l'ai vu que de loin. De son petit nom, Hombori Tondo: grand plateau circulaire de 2km², bordé d'à-pics de 300m de haut, 5km de falaises verticales sur lesquelles plusieurs voies sont équipées pour la varappe. Ce relief particulier a préservé à son sommet une biodiversité précieuse (voir: Le Mont Hombori : un modèle unique de compréhension de l'évolution de la biodiversité dans le Sahel.)

Là où nous sommes allés, sur les conseils que Lélélé a donnés à mon guide, c'est bien au massif de BARKOUSSI, que Lélélé, notre hôte, juge plus intéressant quand on ne fait pas de varappe...


Hombori Tondo n'est qu'une partie d'un massif composé de trois ensembles:

- Hombori Tondo : qui s'élève d'un seul bloc.
- Les Dômes Centraux: des dômes aux parois verticales séparés par des failles profondes, dont fait partie le massif de BARKOUSSI. Sur ces dômes des villages perchés, Dogons ou Songhaïs, agriculteurs pour la plupart.
- La Main de Fatima... à quelques kilomètres... (là, patience!... on ira y jeter un coup d'oeil dans la page suivante).


Abruptes et monumentales élévations de grès rose, façonné par l'érosion, contrastes magnifiques avec l'étendue à leurs pieds de l'immense plaine du Gourma.

Clic! dans photos >>> + grand!... + beau!
Titres dans infobulles au passage de la souris sur les photos.

 

vue sur la plaine à Hombori

Dôme vigie à Hombori

lit du torrent à sec, Hombori

 

 Pour cette balade, Oumar comptait juste nous approcher au plus près du départ des falaises, puis au pied des parois verticales, admirer le paysage et s'en retourner... C'est, me dit-il, ce qu'il fait habituellement avec les touristes qu'il amène là...

échelle de géant, HomboriPour moi, c'est un peu juste  savez-vous?... D'autant que, alors que mon guide profite de l'ombre de cet arbre identifié par lui comme étant la dernière halte avant la re-descente, moi, en prolongeant un peu sur ma gauche, je tombe sur un escalier aux marches de géant, lit asséché de torrent... qui me dit quoi à votre avis?... ben... "viens, viens...".

Ainsi fut fait...

Oumar découvre en même temps que moi, il n'était jamais allé plus loin que son arbre repère.
en réalité, sur ce secteur du Pays Dogon, je le crois moins calé qu'ailleurs.

 

L'escalier titanesque se glisse entre les deux dômes de gauche de la première photo. Je m'y sens Alice miniaturisée, je vais passer de l'autre côté du miroir...

 

contrastes

Nous amène jusqu'à ce col et de là redescend en éboulis plus que raide.

petit homme sur Barkoussi

On tente... Descente sportive...

vertige

Puis difficulté augmentant entre rochers hors de mesure, buissons épineux, pente se rapprochant de plus en plus de la verticale,  et Oumar visiblement pas un spécialiste du coin...

je jette l'éponge sur le miroir
et opte pour retour raisonnable par là d'où l'on est venu...
Ça fait rien, ce fut bien bon!... 

vue latérale depuis le Massif de Barkoussi


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ou Garmi Tondo ... cheminer
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4 mars 2009

La Main de Fatima, ou Garmi Tondo ... cheminer

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Hombori Tondo,
point culminant du Mali




La Main de Fatima, Hombori

À quelques 3 ou 4 heures de bonne marche
du campement Kaga Tondo, de Hombori,
se dressent des aiguilles de ... grès, toujours !
C'est Garmi Tondo, la Main de Fatima.

Pour vous en mettre plein les mirettes, clic! dans photos
affichage recommandé "plein écran"

Lélélé n'est pas disponible pour nous accompagner.
Il a ce jour des clients pour les éléphants du Gourma...
Je regrette un peu d'abord ...
Mais finalement, avec le fidèle Oumar,
et parce-qu'il n'est pas vraiment familier de ce coin-là,
la balade va prendre des airs de vagabondage
tout en accords avec l'étendue de la plaine.

Vagabondage, mais non errance...
Impossible de se perdre.
À gauche, la courbe imaginée de la route,
plus ou moins proche.
Sous nos pas, devant, derrière...une savane arbustive
où le regard prend ses aises,
s'élance très loin sur la droite
jusqu'à effleurer la ligne de dunes,
s'accroche aux infimes mouvements
ou variations de rythme,
les petites silhouettes flottantes de peuls,
ou les huttes de paille en enclos familiaux.

... et devant, immuables ...

présence

... évanescentes et fantasmagoriques
dans les brumes de chaleur,
celles dont on se rapproche doucement.


Garmi Tondo, 600m de hauteur. 5 aiguilles, du nord au sud  : Suri Tondo, Wanderdu, Wangel Debridu, Kaga Tondo (la plus haute) et Kaga Pamari.

...et une histoire : Une jeune-fille partie chasser le pigeon avait, dans l'insouciance de ses printemps, perdu de vue qu'il ne faut pas siffler dans la montagne. Ça fâche les génies du coin. Elle a sifflé... elle est tombée. Il ne reste d'elle que sa main... à voir ICI


VAGABONDAGE

 

À la sortie du village de Hombori, les cases peules sont nombreuses. Organisées en véritables quartiers de pailles dont nous empruntons les ruelles. Bois liés et nattes, elles forment comme une lisière entre les maisons en banco du centre, plutôt songhaïs, et la plaine immense. Mais très vite, de construction plus sommaire, elles se raréfient, aperçues de loin en loin, îlots précaires posés sur une savane à moitié désertique.

Plaisir de la marche ...

Moment de pause à l'ombre d'un arbre. Je vois trois femmes venir vers nous de loin à travers la plaine. Leurs pas réguliers, sans hâte, font danser leurs silhouettes dans la chaleur, avec cette grâce si particulière que j'ai déjà remarquée chez les peuls. Arrivées près de nous, elles me demandent de l'argent, des médicaments, des moustiquaires, des vêtements, de la nourriture... Oumar traduit. Devant mon refus, elles se fâchent, s'indignent. Discussion houleuse entre elles et  Oumar : elles-mêmes nous ayant repérés de loin, elles sont persuadées qu'une blanche seule à pied, marchant d'un bon pas au beau milieu de la savane avec un seul accompagnateur noir ne peut être là que dans le cadre d'une mission humanitaire. Aussi elles ne comprennent pas pourquoi je ne veux pas les aider alors que j'ai donné à d'autres !? Pourquoi je refuse de faire quelque chose pour elles ?... Elles veulent leur part. Oumar réussit enfin à les convaincre, je suis simplement ce personnage exotique appelé "touriste"... Tout finit dans des sourires et je partage les quelques oranges que j'ai dans mon sac.

L'après-midi est déjà entamée,
nous voilà enfin au pied de Garmi Tondo.

au pied de la main de Fatima, Hombori

et là, décision qui m'étonne aujourd'hui,
je choisis de faire l'impasse sur la grimpette.
Ce jour-là, je suis ailleurs, fascinée par la savane.

Aussi, nous devons être chez Lélélé ce soir.
Plutôt que courir, je préfère les admirer,
ces aiguilles renommées,
et garder plus de temps pour le chemin du retour,
certaine que je suis alors de revenir ici un jour
pour tant d'envies que j'y laisse en suspens,
telles que passer par les villages,
me balader autour et dans les Tondos ...

Au retour, mon chemin suit d'abord une crête
d'où je surplombe vers le nord la plaine du Gourma

miniatures d'arbres sur la plaine du Gourma

tandis que Oumar préfère rester prudemment dans la plaine côté sud
pour ne pas lâcher son fil d'Ariane :
une parallèle imaginée à l'existence connue de la route...

 

Animisme ordinaire

La végétation est tellement clairsemée que malgré la distance, je ne peux perdre mon guide de vue... Je le vois donc quand il se baisse et ramasse quelque chose sur le sillon clair d'un petit chemin de sable... Redressé, l'objet dans sa main ouverte, il semble le regarder, perplexe. Enfin se remet en route...
  Plus loin, nos chemins convergent petit à petit et je le rejoins. Il m'attend, l'air soucieux, sa main en avant, prête à s'ouvrir pour me montrer. Mais juste quand j'arrive à sa hauteur, un écureuil décide alors de descendre sans se presser le long du tronc de l'arbre tout proche et de traverser en bondissant l'espace vide qui le sépare d'un arbre plus lointain sur lequel il saute et grimpe prestement... Le temps s'est comme arrêté pour Oumar qui n'a pas quitté l'animal des yeux. Et sourcils froncés, qui dit pour lui-même: "Il faut que j'aille au village"

Puis s'adressant à moi: "Il faut que j'aille au village. Qu'est-ce que ça veut dire ?... D'abord je trouve une pièce au-milieu du chemin, ensuite cet écureuil qui traverse devant moi... Je ne sais pas si c'est bon ou mauvais, il faut que j'aille au village dés que je rentre."

Le village, c'est Pelou, village Dogon sur le plateau de la falaise de Bandiagara, d'où est originaire son père et auquel Oumar se sent rattaché. La réponse à ses inquiétudes?... il n'y a que là qu'il peut la trouver, auprès du devin... et si c'est "mauvais", on lui dira alors ce qu'il doit faire... il suffira peut-être d'un poulet sacrifié...

 

 

Au puits, vers 17 heures

Un de ces moments magnifiques où l'on est tout à la beauté des images sans même envisager de faire une seule photo.
Au-milieu de nulle part, un puits... Autour du puits, contrastant avec la plate solitude et le silence environnants, c'est grande animation. On s'approche, on va refaire notre provision d'eau, on salue, on est salué, on reste à la lisière avec respect... La vie éclate là, explosion de couleurs, de lumineuse énergie, de gaîté... un ballet d'une harmonie telle qu'il semble que tous, hommes, femmes, jeunes enfants et bêtes, concourent à l'équilibre du tableau qu'on croirait mis en scène par un Léonard mâtiné d'un Eugène.
  Des bergers peuls venus faire boire leur troupeau accompagnés des femmes venues faire provision d'eau.
  On sent que les gestes et les séquences sont réglés depuis longtemps, le même rituel chaque jour. Les ânes d'abord, puis les moutons. Puiser est  cette fois le travail des hommes. Surmonté d'un tronc lisse horizontal, le puits est profond et assez large pour que trois hommes côte-à-côte puissent tirer de l'eau en même temps. Le corps passant d'un pied sur l'autre, brusquement renversé en arrière, puis basculé vers le puits, ils balancent chacun, d'un bras rayonnant, une épaisse et longue corde au-dessus du tronc-essieu. Au bout de chaque corde, une peau entière de mouton, nouée en cuvette, qu'ils remontent chargée d'eau pour l'aller verser trois pas plus loin dans deux abreuvoirs construits en retrait du puits. Pas de cassure dans les mouvements. Vivacité et souplesse. Les gestes s'enchaînent comme une danse, magnifiés par les larges et mobiles boubous flamboyants. Les outres se vident et se remplissent dans un rythme régulier, va-et-vient continu. On y sent du plaisir, les yeux sont gais, les voix joyeuses, les sourires fréquents.
  De l'autre côté du puits, un peu en biais, groupées, les femmes sont assises sur le sol. Mêlés à elles, des tout petits qui jouent ou dorment. Pré-ados et ados sont absents de la scène. Les  femmes discutent paisiblement. Foisonnement de couleurs vives... leurs habits, leurs voiles fins, les brins de laine qui décorent leurs coiffures et leurs boucles d'oreilles... et aussi les seaux et bassines de plastique bicolore si familiers, aux rayures jaunes, vertes, rose flashy, empilés au-milieu d'elles, en attente d'être remplis par les hommes. Les femmes ramèneront  sur leur tête ces récipients chargés d'eau.

Moment intense qui s'est gravé dans un coin de ma caboche...

* * * * *

De retour au campement le soir
... agréable repos sur la terrasse couverte,
pause thé et jeu de dés
après la douche au seau, avant le repas.

Demain matin, bus Sonef TV, "Nouvelle Génération"(sic)
Retour à Sévaré, Mopti...
Conformément aux usages Dogons
d'accompagnement au départ de ceux qui vous quittent,
Lélélé viendra avec nous à l'arrêt du bus
et nous tiendra chaleureusement compagnie une bonne heure,
jusqu'à ce qu'il nous ait vus enfin embarquer et partir.

Puis ce sera 2 jours plus tard
Bamako avec Bani Transport.
C'est la fin du voyage pour moi...

pour cette fois.


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